Sunday, October 26, 2008

Chapitre 7: Le maître

J’ai changé mon avis a propos du maître. Au début, je déteste la façon dans laquelle il traite Samba- je pense qu’il y a seulement un homme violent et noire. Maintenant, j’ai beaucoup de pitié pour lui. Il est un vieil homme qui est fixer sur réligion et sur prier à Dieu. Je pense maintenant qu’il n’est pas méchant. Quand il trouve un insecte sur son boubou, il ne l’écrase pas. Il est un homme faible en mauvaise santé qui joue le rôle d’un guide spirituel pour les Diallobé.

Chapitre 7 : La conversation entre Paul Lacroix et le Chevalier

Les images dans ce chapitre sont très fortes, particulièrement celle du « aquarium glauque ». La conversation entre Paul Lacroix et le Chevalier est complexe - ils parlent de la philosophie de la vie et de la mort, une discussion métaphysique. Les deux hommes ont des perspectives différentes et Paul pense que son fils a raison quand il dit que le chevalier a l’air d’un « chevalier du Moyen Age. » Paul pense que les idées et les croyances du chevalier a propos de la fin du monde viennent du Moyen Age. Les différences entre les deux hommes sont évidents- la religion joue un grand rôle dans la vie du chevalier et il attend pour la fin de la vie avec impatience. La science et le développement sont plus importants pour Lacroix. Ils parlent au sujet d’ « une catastrophe détruise [le] planète ». La différence entre les faits bien- établis et les notions abstraites.

Chapitre 6 : La réaction du chevalier du retour de son fils

Quand le chevalier apprend que son fils va retourner à L., il « sentit comme un coup dans son cœur » parce qu’il pense que « la victoire des étrangers serait totale ». Il face à l’est pour prier pour son fils. Même si je ne comprends pas les coutumes dans ce livre, je crois que le chevalier aime Samba beaucoup. Il est fier quand Samba récit le Coran dans la nuit de Coran quand il arrive. Sa mère est fière de lui aussi. Samba devient de plus en plus assuré dans son récital.

« Longtemps, dans la nuit, sa voix fut celle des fantômes aphones de ses ancêtres qu’il avait suscités. Avec eux, il pleura leur mort ; mais aussi longuement, il chanterent sa naissance. »

Chapitre 6: Flash-back

Nous sommes rejetés dans le quatrième chapitre, après Samba est trouvé dans le cimetière et le discours de la Grande Royale a propos d’envoyer leurs enfants a l’école étrangère. Le chef des Diallobé, la Grande Royale et le maître décident de lui envoyer à L. pour rejoindre ses parents et aller a l’école. Au début, Samba est heureux, mais avec temps il devient de plus en plus triste et seul quand il doit faire ses adieux au maître et les disciples. Il l’aime beaucoup- il est attiré à lui dans une manière différente de l’amour pour ses parents qu’il possède. Il rend visite à la maison du maître et le maître lui souhaite les meilleurs vœux.

Chapitre 6: Samba et son supplice

Samba pleure car il aime le maître et il le manque. Il est triste qu’il ne peut pas souvenir l’apparence physique exacte du maître. Pour lui, le maître est son guide spirituel et il semble la présence du maître même quand il n’est pas la. Je pense que l’entente entre les deux est un peu bizarre maintenant- c’est clair que Samba respecte le maître, peut-être il le vu comme un père. Même si le maître est en bonne santé, Samba imagine sa mort qui démontre sa fixation avec la mort pour la centième fois- (chaque fois je deviens de plus en plus déprimée !)

Chap 5: Samba et Jean Lacroix

J’aime beaucoup voir l’interaction des garçons dans ce livre. Je pense que Samba a besoin d’un ami normal et ordinaire parce qu’il n’a pas des vrais copains. Samba et Jean partent le bureau de M. Lacroix pour aller en ville a pied. Samba commence à parler au sujet de la mort quand il cueille une fleur.

« Regarde, Jean, comme cette fleur est belle. Elle sent bon….Mais elle va mourir. »

Je peux voir que Samba est vraiment, trop même, obsèdé avec la mort, même quand le maître n’est pas la. Quand Samba doit prier, Jean le regarde. Il est fasciné avec la manière dans laquelle Samba vénère et il l’observe. Il rend compte que Samba pleure et il est soulagé quand le chevalier lui console. On peut voir l’innocence du garçon quand il pense de larmes de Samba. Il est sensible.

Chapitre 5 : La premiere rencontre du Chevalier et M.Lacroix

Jean va au bureau de son père et il découvre que son père parle avec un autre homme, un homme qu'il n'a jamais vu. La description du chevalier vient de point du vue du garçon qui remarque que l’étranger ressemble au chevalier du Moyen Age « revêtu de sa dalmatique ». Le père de Jean introduit son fils et son invité et il critique Jean quand le garçon regarde le chevalier. Jean est gêné. Le chevalier est très gentil et il essaie de dérider Jean. Quand Samba entre, le chevalier lui presente en tant que son fils. J’aime le chevalier beaucoup après ce chapitre parce que je vois qu’il a un cœur gentil.

Chapitre 5 : Jean Lacroix et son impression initiale de Samba Diallo

La première fois que Jean Lacroix voit Samba Diallo, il croit que Samba est triste et mystérieux.

« … Jean Lacroix croyait se souvenir que cette tristesse, il l’avait perçue des les premiers moments de ses contacts avec Samba Diallo, quoique de façon diffuse et imprécise. »

Quand le prof, M. N’Diaye a posé une question, Jean sait bien que Samba sait la réponse mais il choisit de prolonger le silence.

« Jean…perçut très nettement alors que quelqu’un non loin de lui, n’était pas gêné par ce silence, quelqu’un se jouait de ce silence et le prolongeait comme a plaisir, quelqu’un qui pouvait le rompre, qui allait le rompre. »

Chapitre 5: Introduction de la famille Lacroix

La famille Lacroix consiste du père, M. Lacroix, et de ses deux enfants, Jean (garçon) et Georgette (fille). Elle est arrivée dans une petite ville noire, « L. », ou ils ont trouvé une école. Jean Lacroix et son sœur, Georgette, rencontre Samba Diallo dans cette école pour la premières fois.

« C’est sur les bancs d’une salle de classe de cette école remplie de négrillons que Jean Lacroix fit la connaissance de Samba Diallo. »

On peut comprendre dans la lecture de ce chapitre que Jean et Georgette sont les deux seules enfants blanches dans cette école. La famille vient de Pau, dans le sud de la France. C’est intéressant qu’il y a un autre garçonnet dans ce livre pour faire des comparaisons avec lui.

Chapitre 5 : Le langage de la guerre

L’auteur utilise beaucoup de langage de la guerre au début de ce chapitre. Il parle de la colonisation- l’invasion "des blancs et des frénétiques". Les Diallobé a essayé au début de résister les blancs.
« Certains, comme des Diallobé, brandirent leurs boucliers, pointèrent leurs lances ou ajustèrent leurs fusils. On les laissa approcher, puis on fit tonner le canon. Les vaincus ne comprirent pas. »

En dépit de leurs meilleurs essais, ils deviennent colonisé.
« Ceux qui avaient combattu et ceux qui s’étaient rendus, ceux qui avaient composé et ceux qui s’étaient obstinés se retrouveront le jour venu, recensés, répartis, classés, étiquetés, conscrits, administrés. »

L’auteur fait une comparaison de trois choses différentes- une institution (l’école), une arme (un canon) et la force de la nature (un aimant).
« Le canon contraint les corps, l’école fascine les âmes….De l’aimant, l’école tient son rayonnement… »

Je pense que cette comparaison est très intéressante et très unique. Je ne l’aime pas du tout le langage de la guerre que l’auteur utilise mais je peux apprécier la raison pour laquelle l’auteur l’utilise- pour souligner l’histoire tragique du pays africains, pays qui sont colonisés comme l’Irlande.

Chapitre 4- La Grande Royale

Chapitre 4- La Grande Royale

Nous pouvons voir la puissance et la présence de la Grande Royale encore une fois dans ce chapitre. Elle demande que les gens des Diallobé se rassemblent parce qu’elle veut leur parler. Elle invite les femmes aussi, mais sa justification m’étonne. Nous pouvons voir la place d’une femme dans le Diallobé, même quand la Grande Royale elle-même est très proéminente.
« J’ai fait une chose qui ne nous plait pas, et qui n’est pas dans nos coutumes. J’ai demandé aux femmes de venir aujourd'hui a cette rencontre. Nous autres Diallobé, nous détestons cela, et a juste titre, car nous pensons que la femme doit rester au foyer. »

Elle fait un geste car elle va parler au sujet d’envoyer leurs enfants a l’école étrangère, un autre coutume que les Diallobé n’aiment pas faire. La Grande Royale admet qu’elle « déteste » cette idée, mais elle pense aussi qu’il est nécessaire.

Elle essaye de promouvoir son point de vue.
« L’école ou je pousse nos enfants tuera en eux ce qu’aujourd hui nous aimons et conservons avec soin, a juste titre. Peut-être notre souvenir lui-même mourra-t-il en eux, Quand ils nous reviendront de l’école, il en est qui ne nous reconnaîtront pas. Ce que je propose c’est que nous acceptions de mourir en nos enfants et que les étrangers qui nous ont défaits prennent en eux toute la place que nous aurons laissée libre. »

C’est clair qu’elle veut que les enfants doivent progresser dans la vie.
« …nos meilleures graines et nos champs les plus chers, ce sont nos enfants… »

Chapitre 4- La fixation de Samba avec la mort.

La fixation de Samba avec la mort.

Le 4eme chapitre est vraiment bizarre, nous pouvons voir la fixation de Samba avec la mort quand il passe une nuit a un cimetière. Nous pouvons mieux comprendre la mentalité de Samba. Nous déjà savons qu’il est fixé avec l’idée de mort et du Paradis. Il va au cimetière pour trouver refuge de la vie quotidienne,

« Ce fut au cours d’une sévérité concertée qu’il se découvrit une retraite ou nul n’eut songé à venir le chercher. »

Il s’allonge sur la terre près de la tombe de « Vieille Rella » et il parle avec lui-même quand il sait bien qu’elle est morte et elle ne peut pas répondre.

« « …Bonsoir, Vieille Rella, si tu m’entends »…Naturellement, jamais elle ne lui avait répondu…Samba Diallo savait même qu’a l’intérieure de ces monticules de terre, il ne restait qu’un petit tas d’ossements. »

C’est bizarre qu’un jeune garcon de dix ans (environs) n’a pas peur de la mort et la décomposition des corps.

« Il savait qu’elle n’était plus chair, ni os, ni rien de matérial. »

Sunday, October 5, 2008

Chap 2: La confrontation du maitre et de la GR

Je me suis très intéressée à voir la confrontation entre la Grande Royale, une femme puissante, et le maître, un homme capable de violence physique. Dans le deuxième chapitre, nous apprenons que le maître devient de plus en plus faible mais il reste frugal et dévoué à Dieu.

« Le maître médita longuement, réveillé au souvenir des temps évanouis ou le pays vivait de Dieu et de la forte liqueur de ses traditions. »

L’auteur utilise une inversion littéraire pour mettre l’accent sur la présence forte de la Grande Royale, et peut être pour présenter un sens de deja-vu.

« Lorsqu’il leva la tête, son regard rencontra « un grand visage altier, une tête de femme qu’emmitouflait une légère voilette de gaze blanche ». »

Leur introduction est très cérémonieuse, avec des salutations et le déchaussage mais la Grande Royale ne gaspille pas de temps quand elle commence à parler de Samba.

« Je viens vous voir au sujet de Samba Diallo. Ce matin, j’ai entendu les litanies qu’il improvisait…J’en ai été effrayée. Je sais bien que la pensée de la mort tient le croyant éveille et je compte l’inquiétude qu’elle met dans nos cœurs parmi les bienfaits de Notre-Seigneur…Néanmoins, je suis inquiète maître. Cet enfant parle de la mort en termes qui ne sont pas de son age… »

Le maître parle du père de la Grande Royale, qui la surprise. Il demande pardonne pour ses fautes et son arrogance.

« A tous, je demande que me soient pardonnés les maux particuliers que j’ai pu commettre et le grand mal qui a tenu à ma fonction de chef des Diallobé. »

La GR crois que le maître doit apprendre aux fils des Diallobé a vivre, mais le maître jure de continuer son travail mais il demande

« Je vous prie de ne point me tenter, et de laisser à ma main sa fermeté. Apres cette blessure profonde pratiquée d’une main paternelle, je vous promets que plus jamais cet enfant ne se blessera… »

Chap 2: La Grande Royale

Nous savons que la Grande Royale est la sœur aînée du chef des Diallobé (p.31), donc la tante de Samba. L’auteur souligne sa position extraordinaire dans le pays de Diallobé.

« On racontait que, plus que son frère, c’est elle que le pays craignait. »

A cause de ça, je crois que la Grande Royale est géniale ! Le premier chapitre du roman est difficile a lire pour moi parce qu’il est très violent, mais je suis heureuse a voir que l’auteur parle autour d’une femme puissante, plus puissante que son frère, le chef des Diallobé et le père de Samba.

« Le chef des Diallobé était de nature plutôt paisible…sa sœur tranchait par voie d’autorité. »

Elle est très respectée pour son travail. Elle est un personnage et un chef charismatique, mais pas officiel.

« Elle avait pacifié le Nord par sa fermeté…C’est le Nord qui l’avait surnommée la Grande Royale. »

Elle est une femme forte dans une société des hommes et Samba l’admire. Sa description de sa tante est extraordinaire- il mentionne ses babouches qui démontrent son indépendance, sa voilette de gaze blanche, le visage de contours pleins, le nez légèrement busqué, la bouche grande et forte sans exagération. C’est évident qu’il aime sa tante.

« Samba Diallo avait été fasciné par ce visage, qui était comme une page vivante de l’histoire du pays des Diallobé. »

La Grande Royale aime Samba aussi et elle est concernée quand il parle de l’école et sa préoccupation avec la mort.

« Le maître cherche à tuer la vie en toi... »

Elle veut confronter le maître pour aider Samba.

« …je vais mettre un terme a tout cela… »

La Grande Royale est mon personnage favori du roman en ce moment.